Plaisir inversé: la rencontre
Lire d'abord le début.
Nous avions convenu du rendez-vous depuis trois jours. Elle avait été très stricte sur un point: je ne devais surtout pas me branler avant. J'obtempérais sagement, bien que le matin même, en me douchant soigneusement en vue de notre rencontre, alors que l'eau chaude réveillait tous mes sens et que j'étais très raide, j'eu toutes les peines du monde à résister à me masturber.
C'était moi qui me déplaçait vers elle. L'idée que cela était une marque de galanterie masculine alors que nous allions renverser les rôles me plaisait. Elle m'indiqua une porte de Paris que je devais rejoindre, puis la recontacter. Un charmant jeu de piste s'engagea. Une fois arrivé et garé, comme convenu je l'appelais. Je lui indiquait la rue ou je me trouvais, et elle me donnait les indications: reprendre la rue untel, traverser le pont, tourner à droite, jusqu'à un parking, la rappeler. J'obtempérais. J'atteignis le parking. Je la rappelais.
"Vous devez être devant un hôtel, maintenant." En effet, en levant les yeux je voyais son enseigne. J'étais en face de la porte. Elle continua les directives:
"- Vous entrez, et prenez une chambre. Vous y montez et me rappelez." Elle raccrocha, ne laissant aucune place à une quelconque question. J'obéissais.
C'était un hôtel "Formule 1". Un endroit anonyme, plutôt un dortoir qu'un lieu d'hospitalité. Un prestataire de service, si ce n'est de sommeil, au moins d'un espace clos de quelques mètres carrés. Le lieu n'avait aucun charme, mais je ne venais pas pour cela. Son seul intérêt était justement son anonymat où chacun pouvait se fondre et devenir un autre s'il le souhaitait.
Je prenais la chambre, montais. C'était plutôt une chambrette exiguë, juste un lieu pour dormir, et c'est tout. Je la rappelais. Je compris très vite l'autre intérêt du lieu. La porte n'avait pas de clef, même pas de carte, mais un code donné à la réception, à taper sur un clavier. Ma correspondante le savait et savait en jouer. Elle me demandait le code, je lui donnais. Elle poursuivit:
"- Vous vous déshabillez. Entièrement. Vous vous mettez à quatre pattes sur le lit, fesses vers la porte, jambes écartées, cambré. J'arrive."
Je comprenais aussitôt qu'elle pouvait venir constater ma position sans que j'ai à lui ouvrir.
Je n'avais pas envisagé cette rencontre comme ça. Je n'avais rien envisagé à vrai dire: j'étais décidé à aller au bout de mon fantasme. Je lui obéissais. L'idée de m'offrir, m'exhiber, nu à une parfaite inconnue m'excitait.
Je baissais le rideau. Je retirais mes vêtements, les posais. J'enlevais le couvre-lit et m'installais dessus. Je pris la position demandée. C'etait la première fois que je me mettais aussi explicitement dans cette position: nu, totalement, à quatre pattes. J'étais tourné vers la fenêtre, présentant ma croupe à la porte, et donc à celle qui l'ouvrirait. L'espace d'un instant je me disais que n'importe qui pouvait venir ouvrir cette porte et me surprendre ainsi. L'idée m'excitait. Je me cambrais, creusant les reins, me demandant jusqu'à quel point elle désirait que je le sois. Je bandais sévèrement.
J'attendis quelques minutes. Je commençais à avoir froid et à me demander si ce n'était pas un canular. Si j'attendais pour rien, ce ne serait pas bien grave, juste le temps et le prix de la chambre de perdu. Mais dans ma position, dans mon attente, j'envisageais d'autres choses. Celles où elle viendrait accompagnée, d'un ou deux hommes, ou que seuls des hommes venaient, ou qu'elle venaient me filmer ou me photographier, ou... J'envisageais toutes les situations, mais je ne bougeais pas de ma position, offrant toujours mon fessier à cette porte qui restait fermée. J'étais aux aguets des bruits dans le couloir. A chaque passage de l'autre coté de la porte, je tressaillais, retenais ma respiration, me cambrais, prêt à recevoir sa visite.
Un bruit différent des autres se fit enfin entendre. Un bruit de serrure électronique. La poignée basculait, la porte s'ouvrait brusquement. J'entendais quelqu'un rentrer rapidement et refermer aussitôt la porte. Je tournais la tête pour découvrir mon invitée. A peine entrée, je l'entendis s'exclamer d'un "Ohhhh" admiratif en découvrant le spectacle que je lui offrais. Je reconnaissais la voix sophistiquée qu'elle avait, ou qu'elle prenait, au téléphone. Je ne faisais que l'apercevoir, malgré ma tête tournée vers elle, nos positions, elle derrière moi, m'empêchait de bien la regarder. Elle était assez grande, pulpeuse, entre 35 et 40 ans, habillée d'une jupe ample, avec goût et sophistication.
Je souris et la salua:
"- Bonjour, maîtresse." C'était dans cet état d'esprit que j'abordais cette rencontre, celle d'un novice en soumission se donnant à sa maîtresse. Elle me gratifia d'un:
"- C'est bien, vous avez bien pris la position.
- Suis-je assez cambré, maîtresse ? lui demandai-je en relevant les fesses.
- C'est très bien, oui."
Elle posait son sac sur le lit derrière moi. J'entendais le bruit de ses vêtements. Elle monta sur le lit, me frôlant avec son bas soyeux. Sans plus attendre elle passa son foulard devant mes yeux et le noua. C'était un foulard en soie qui m'aveuglait. Je me laissais faire, étonné de ma docilité et de l'excitation que ça me procurait.
"- Vous voilà prêt", dit-elle en redescendant du lit après voir vérifié le nœud du foulard. J'attendais cet instant depuis si longtemps que je pensais en effet être prêt à tout subir de sa part.
Ainsi aveuglé, j'étais à l'écoute de mes autres sens: l'ouïe et le toucher. Je l'entendais fouiller dans son sac, sans doute pour en sortir les accessoires indispensables à sa prise de contrôle de mon corps. Elle revint vers moi, passant une jambe déchaussée et gainée de bas entre mes cuisses, les forçant à s'écarter un peu plus. Elle posa une main dominatrice sur mes fesses que je relevais toujours. Son contact me fit tressaillir. Je n'avais jamais imaginé à quel point je pouvais apprécier la situation, la position, les gestes, tout. Elle passa sa main sur chacune de mes fesses, sur le bas de mon dos.
"- Alors comme ça vous voulez faire la petite salope ?
- Oui, madame, s'il vous plait. Etre votre femelle..."
Plus que lui être soumis, je voulais aussi qu'elle me possède.
Elle saisit ma queue d'une main ferme et autoritaire pour en éprouver la dureté. Elle tira dessus vers l'arrière, assez doucement mais assez loin.
"- Hmmmm, jaugea-t-elle d'un air connaisseur, vous êtes bien équipé.
- Merci madame, je... je suis à votre disposition si vous le désirez. "
Elle me relâcha en répondant : "On verra." Je me demandais si je l'avais fâché en disant ça. Je n'envisageais pas un instant qu'elle put vouloir que je lui serve de mâle, mais voulais simplement lui indiquer que je lui offrais tout mon corps, et pas seulement ma croupe. Elle descendit du lit sur lequel elle était monté et en fit le tour. Je l'imaginais poser ses yeux inquisiteurs sur tout mon corps impudiquement exhibé. Elle devait l'examiner, en prendre les mesures, préparer la manière dont elle allait disposer de moi: l'amazone jaugeait sa monture à dresser. Je la devinais devant moi, debout devant le lit. Sous le bandeau je ne pouvait voir, à peine, que ses pieds, assez petits. Elle devait être à quelques centimètres de moi, je sentais le frôlement de sa jupe sur mon visage. Elle scrutait, prenait son temps.
"- Voyons... Hmmmm.... Un homme marié", elle avait vu mon alliance sur ma main posée à plat sur le drap. Je ne la cachais pas mais crispa un peu les doigts de surprise.
"-O..oui, madame.
- Et vous la sodomisez ?
La question m'étonna, j'eu un instant d'hésitation.
- Heu, oui, cela arrive.
- Et vous voulez prendre sa place alors ?
La encore j'hésitais, je n'avais encore jamais réfléchi à cette question.
- Heu, oui, oui, je crois. "
Elle rit d'un rire léger et sympathique, pas moqueur du tout, accueillant mon aveu qui me faisait rougir de honte de l'avoir dit.
"- Ce n'est pas facile n'est-ce pas ?
J'étais en confiance.
- Non, non, pas vraiment, madame.
- Nous allons nous occuper de cela", dit-elle en refaisant le tour du lit, allant sûrement vers son sac.
Elle resta quelques instants, sortant peut-être des accessoires, ou en fouillant son contenu. Je sentis soudainement quelque chose de froid couler sur mon anus. Je sursautais. L'odeur de lubrifiant intime emplit la chambre. Quelque chose me toucha. Je sentais le contact d'un gant qu'elle avait enfilé. Elle commença à me masser d'un doigt explorateur mais discret. Je gémis.
"- Vous aimez ?
- Oui, maîtresse. Je veux être votre petite femelle", répétai-je.
Elle s'appliqua une minute ou deux, j'ondulais sous ses gestes, jouant doucement de ma cambrure, de la position de mon bassin, afin de m'ouvrir au maximum à son investigation. Soudain, je sentis une claque sur mes fesses. J'eu à peine le temps de me demander ce qu'il se passait, ni d'analyser la vague de plaisir qui inondait mon corps, qu'une deuxième claque retentit. C'était une première, je n'avais jamais ressenti cela. Ce n'était pas une fessée, plutôt une claque experte sur le haut de mes fesses, un peu à la manière dont on flatte la croupe d'une jument. Je poussait un petit cri. Elle recommença aussitôt. Les vibrations de la claque se répercutaient encore dans tout mon corps, je la ressentais encore quelques secondes après, comme si elle avait été intense. C'était une totale découverte pour moi. Je n'avais jamais imaginé qu'une fessée de la sorte puisse être à deux doigts de me faire jouir. J'étais assaillis d'onde de désir, je tressaillais à chaque nouvelle frappe. J'en voulais plus.
"- Oui, madame, encore. Je suis votre femelle soumise." Elle cessa les fessées quand je commençais à ressentir leur chaleur sur mon cul.
"- Vous êtes très serré, conclut-elle en cessant son travail. Je sentais mes fesses rougies trempées du liquide dont elle m'avait inondé. Elle reprit d'autres ustensiles dans son sac. Elle m'ordonna :
"- A genou !" Je m'exécutais aussitôt. J'étais haletant, déjà, ayant pris un plaisir court mais intense et surprenant dans cette entrée en matière. Je me relevais, restant à genoux, les bras le long du corps, toujours aveuglé, et bandant plus que jamais.
Elle saisit mes mains et les ramena derrière mon dos. Je les croisais docilement. Elle les lia avec un objet en cuir, une ceinture sûrement. Elle fit plusieurs tours de mes poignets et de mes avant-bras. Elle serra une première fois, une seconde fois, plus fort : elle venait de fermer la boucle. Mes bras étaient fermement ligotés, m'obligeant à pencher un peu les épaules en arrière, me laissant peu de liberté de mouvement, y compris au niveau des coudes.
Encore un objet dans son sac. Elle repassa devant moi. Me saisit les couilles à pleines mains, les attirant vers elle. J'accompagnais le mouvement, sans bouger les jambes, me cambrant pour lui offrir plus facilement. Elle les pétrit sans ménagement mais sans excès. Je devinais ses mains sur ma queue sous le bandeau. Elle entreprit de nouer mes couilles avec une sorte d'élastique. Elles étaient bien pleines et gonflées, elle dut s'y reprendre à plusieurs fois pour me les attacher. Je ne pouvais bien sûr pas me voir, mais l'image que je me représentais de moi-même m'affolait.
Je la sentis jouer avec mon sexe. Au bout de quelques secondes je compris qu'elle m'enfilait une capote et qu'elle me suçait. Elle le faisait doucement et de manière experte. Elle jouait surtout des ses lèvres sur toute ma queue, en insistant sur mon gland. A genou, dans sa bouche, offert, j'étais au bord du précipice. Je me retenais, sentant mon sperme monter, et en même temps je m'abandonnais à elle, à sa bouche goulue, à ma position humiliante. Je gémissais, haletais:
"- Hmmm, madame, .... je suis , ... hmmm, ... votre femelle, votre..., hmmm, petite pute...."
Elle continuait, imperturbable.
Malgré tous mes efforts, je ne pu me retenir longtemps de gicler dans sa bouche, ou plutôt dans la capote. J'arrosais à longs jets, puissants, me vidant chacun un peu plus de toutes mes forces. Je basculais la tête en arrière, me cambrais, m'abandonnais totalement à cette jouissance soudaine. Elle accompagnait mes jets avec sa bouche, jusqu'à ce que je retombe, mou, inerte, sensible et supportant mal les caresses. Elle me libéra, et se releva, lâchant:
"- Vous êtes précoce." Je ne compris pas immédiatement ce qu'elle disait, encore sous le coup de la jouissance qui s'était emparé de moi. Je ne savais pas ce qu'elle allait me faire maintenant. Je restait là, pitoyable, la queue flasque entre les jambes, tentant de reprendre mon souffle, essayant de garder une position droite malgré ma lassitude post coïtum. J'entendais qu'elle était repartie à son sac, derrière moi.
Elle pris la ceinture, la dénoua. Je gardais les bras dans le dos, attendant ses directives pour la prochaine étape. Elle dénoua le bandeau, je gardais les yeux fermé. J'entendis son téléphone portable sonner, et un bruit de porte pendant qu'elle y répondait. Je restais immobile, dans l'attente de nouvelles humiliations. J'attendais dix secondes, vingt secondes. Je réalisais qu'elle était sortie pour répondre à son téléphone. Je patientais encore un peu. Je me retournais et ouvris les yeux. Elle était partie, après avoir pris son sac. Je réalisai que ce que j'avais pris comme une réponse à son portable était des mots qui s'adressait à mois. Je compris ce qu'elle avait dit : "au revoir."
Elle m'avait laissé nu sur le lit, à genoux, les fesses enduites de lubrifiant, une capote remplie sur ma queue, un gant de latex me serrant les couilles. Elle avait considéré avoir fini sa mission. Et moi, je me retrouvais toujours aussi puceau de l'anus qu'avant. Je n'avais pas réalisé mon fantasme. Pourtant, je souriais, ayant pris un trop court instant d'intense plaisir inédit.
trioh(@)yahoo.com
Nous avions convenu du rendez-vous depuis trois jours. Elle avait été très stricte sur un point: je ne devais surtout pas me branler avant. J'obtempérais sagement, bien que le matin même, en me douchant soigneusement en vue de notre rencontre, alors que l'eau chaude réveillait tous mes sens et que j'étais très raide, j'eu toutes les peines du monde à résister à me masturber.
C'était moi qui me déplaçait vers elle. L'idée que cela était une marque de galanterie masculine alors que nous allions renverser les rôles me plaisait. Elle m'indiqua une porte de Paris que je devais rejoindre, puis la recontacter. Un charmant jeu de piste s'engagea. Une fois arrivé et garé, comme convenu je l'appelais. Je lui indiquait la rue ou je me trouvais, et elle me donnait les indications: reprendre la rue untel, traverser le pont, tourner à droite, jusqu'à un parking, la rappeler. J'obtempérais. J'atteignis le parking. Je la rappelais.
"Vous devez être devant un hôtel, maintenant." En effet, en levant les yeux je voyais son enseigne. J'étais en face de la porte. Elle continua les directives:
"- Vous entrez, et prenez une chambre. Vous y montez et me rappelez." Elle raccrocha, ne laissant aucune place à une quelconque question. J'obéissais.
C'était un hôtel "Formule 1". Un endroit anonyme, plutôt un dortoir qu'un lieu d'hospitalité. Un prestataire de service, si ce n'est de sommeil, au moins d'un espace clos de quelques mètres carrés. Le lieu n'avait aucun charme, mais je ne venais pas pour cela. Son seul intérêt était justement son anonymat où chacun pouvait se fondre et devenir un autre s'il le souhaitait.
Je prenais la chambre, montais. C'était plutôt une chambrette exiguë, juste un lieu pour dormir, et c'est tout. Je la rappelais. Je compris très vite l'autre intérêt du lieu. La porte n'avait pas de clef, même pas de carte, mais un code donné à la réception, à taper sur un clavier. Ma correspondante le savait et savait en jouer. Elle me demandait le code, je lui donnais. Elle poursuivit:
"- Vous vous déshabillez. Entièrement. Vous vous mettez à quatre pattes sur le lit, fesses vers la porte, jambes écartées, cambré. J'arrive."
Je comprenais aussitôt qu'elle pouvait venir constater ma position sans que j'ai à lui ouvrir.
Je n'avais pas envisagé cette rencontre comme ça. Je n'avais rien envisagé à vrai dire: j'étais décidé à aller au bout de mon fantasme. Je lui obéissais. L'idée de m'offrir, m'exhiber, nu à une parfaite inconnue m'excitait.
Je baissais le rideau. Je retirais mes vêtements, les posais. J'enlevais le couvre-lit et m'installais dessus. Je pris la position demandée. C'etait la première fois que je me mettais aussi explicitement dans cette position: nu, totalement, à quatre pattes. J'étais tourné vers la fenêtre, présentant ma croupe à la porte, et donc à celle qui l'ouvrirait. L'espace d'un instant je me disais que n'importe qui pouvait venir ouvrir cette porte et me surprendre ainsi. L'idée m'excitait. Je me cambrais, creusant les reins, me demandant jusqu'à quel point elle désirait que je le sois. Je bandais sévèrement.
J'attendis quelques minutes. Je commençais à avoir froid et à me demander si ce n'était pas un canular. Si j'attendais pour rien, ce ne serait pas bien grave, juste le temps et le prix de la chambre de perdu. Mais dans ma position, dans mon attente, j'envisageais d'autres choses. Celles où elle viendrait accompagnée, d'un ou deux hommes, ou que seuls des hommes venaient, ou qu'elle venaient me filmer ou me photographier, ou... J'envisageais toutes les situations, mais je ne bougeais pas de ma position, offrant toujours mon fessier à cette porte qui restait fermée. J'étais aux aguets des bruits dans le couloir. A chaque passage de l'autre coté de la porte, je tressaillais, retenais ma respiration, me cambrais, prêt à recevoir sa visite.
Un bruit différent des autres se fit enfin entendre. Un bruit de serrure électronique. La poignée basculait, la porte s'ouvrait brusquement. J'entendais quelqu'un rentrer rapidement et refermer aussitôt la porte. Je tournais la tête pour découvrir mon invitée. A peine entrée, je l'entendis s'exclamer d'un "Ohhhh" admiratif en découvrant le spectacle que je lui offrais. Je reconnaissais la voix sophistiquée qu'elle avait, ou qu'elle prenait, au téléphone. Je ne faisais que l'apercevoir, malgré ma tête tournée vers elle, nos positions, elle derrière moi, m'empêchait de bien la regarder. Elle était assez grande, pulpeuse, entre 35 et 40 ans, habillée d'une jupe ample, avec goût et sophistication.
Je souris et la salua:
"- Bonjour, maîtresse." C'était dans cet état d'esprit que j'abordais cette rencontre, celle d'un novice en soumission se donnant à sa maîtresse. Elle me gratifia d'un:
"- C'est bien, vous avez bien pris la position.
- Suis-je assez cambré, maîtresse ? lui demandai-je en relevant les fesses.
- C'est très bien, oui."
Elle posait son sac sur le lit derrière moi. J'entendais le bruit de ses vêtements. Elle monta sur le lit, me frôlant avec son bas soyeux. Sans plus attendre elle passa son foulard devant mes yeux et le noua. C'était un foulard en soie qui m'aveuglait. Je me laissais faire, étonné de ma docilité et de l'excitation que ça me procurait.
"- Vous voilà prêt", dit-elle en redescendant du lit après voir vérifié le nœud du foulard. J'attendais cet instant depuis si longtemps que je pensais en effet être prêt à tout subir de sa part.
Ainsi aveuglé, j'étais à l'écoute de mes autres sens: l'ouïe et le toucher. Je l'entendais fouiller dans son sac, sans doute pour en sortir les accessoires indispensables à sa prise de contrôle de mon corps. Elle revint vers moi, passant une jambe déchaussée et gainée de bas entre mes cuisses, les forçant à s'écarter un peu plus. Elle posa une main dominatrice sur mes fesses que je relevais toujours. Son contact me fit tressaillir. Je n'avais jamais imaginé à quel point je pouvais apprécier la situation, la position, les gestes, tout. Elle passa sa main sur chacune de mes fesses, sur le bas de mon dos.
"- Alors comme ça vous voulez faire la petite salope ?
- Oui, madame, s'il vous plait. Etre votre femelle..."
Plus que lui être soumis, je voulais aussi qu'elle me possède.
Elle saisit ma queue d'une main ferme et autoritaire pour en éprouver la dureté. Elle tira dessus vers l'arrière, assez doucement mais assez loin.
"- Hmmmm, jaugea-t-elle d'un air connaisseur, vous êtes bien équipé.
- Merci madame, je... je suis à votre disposition si vous le désirez. "
Elle me relâcha en répondant : "On verra." Je me demandais si je l'avais fâché en disant ça. Je n'envisageais pas un instant qu'elle put vouloir que je lui serve de mâle, mais voulais simplement lui indiquer que je lui offrais tout mon corps, et pas seulement ma croupe. Elle descendit du lit sur lequel elle était monté et en fit le tour. Je l'imaginais poser ses yeux inquisiteurs sur tout mon corps impudiquement exhibé. Elle devait l'examiner, en prendre les mesures, préparer la manière dont elle allait disposer de moi: l'amazone jaugeait sa monture à dresser. Je la devinais devant moi, debout devant le lit. Sous le bandeau je ne pouvait voir, à peine, que ses pieds, assez petits. Elle devait être à quelques centimètres de moi, je sentais le frôlement de sa jupe sur mon visage. Elle scrutait, prenait son temps.
"- Voyons... Hmmmm.... Un homme marié", elle avait vu mon alliance sur ma main posée à plat sur le drap. Je ne la cachais pas mais crispa un peu les doigts de surprise.
"-O..oui, madame.
- Et vous la sodomisez ?
La question m'étonna, j'eu un instant d'hésitation.
- Heu, oui, cela arrive.
- Et vous voulez prendre sa place alors ?
La encore j'hésitais, je n'avais encore jamais réfléchi à cette question.
- Heu, oui, oui, je crois. "
Elle rit d'un rire léger et sympathique, pas moqueur du tout, accueillant mon aveu qui me faisait rougir de honte de l'avoir dit.
"- Ce n'est pas facile n'est-ce pas ?
J'étais en confiance.
- Non, non, pas vraiment, madame.
- Nous allons nous occuper de cela", dit-elle en refaisant le tour du lit, allant sûrement vers son sac.
Elle resta quelques instants, sortant peut-être des accessoires, ou en fouillant son contenu. Je sentis soudainement quelque chose de froid couler sur mon anus. Je sursautais. L'odeur de lubrifiant intime emplit la chambre. Quelque chose me toucha. Je sentais le contact d'un gant qu'elle avait enfilé. Elle commença à me masser d'un doigt explorateur mais discret. Je gémis.
"- Vous aimez ?
- Oui, maîtresse. Je veux être votre petite femelle", répétai-je.
Elle s'appliqua une minute ou deux, j'ondulais sous ses gestes, jouant doucement de ma cambrure, de la position de mon bassin, afin de m'ouvrir au maximum à son investigation. Soudain, je sentis une claque sur mes fesses. J'eu à peine le temps de me demander ce qu'il se passait, ni d'analyser la vague de plaisir qui inondait mon corps, qu'une deuxième claque retentit. C'était une première, je n'avais jamais ressenti cela. Ce n'était pas une fessée, plutôt une claque experte sur le haut de mes fesses, un peu à la manière dont on flatte la croupe d'une jument. Je poussait un petit cri. Elle recommença aussitôt. Les vibrations de la claque se répercutaient encore dans tout mon corps, je la ressentais encore quelques secondes après, comme si elle avait été intense. C'était une totale découverte pour moi. Je n'avais jamais imaginé qu'une fessée de la sorte puisse être à deux doigts de me faire jouir. J'étais assaillis d'onde de désir, je tressaillais à chaque nouvelle frappe. J'en voulais plus.
"- Oui, madame, encore. Je suis votre femelle soumise." Elle cessa les fessées quand je commençais à ressentir leur chaleur sur mon cul.
"- Vous êtes très serré, conclut-elle en cessant son travail. Je sentais mes fesses rougies trempées du liquide dont elle m'avait inondé. Elle reprit d'autres ustensiles dans son sac. Elle m'ordonna :
"- A genou !" Je m'exécutais aussitôt. J'étais haletant, déjà, ayant pris un plaisir court mais intense et surprenant dans cette entrée en matière. Je me relevais, restant à genoux, les bras le long du corps, toujours aveuglé, et bandant plus que jamais.
Elle saisit mes mains et les ramena derrière mon dos. Je les croisais docilement. Elle les lia avec un objet en cuir, une ceinture sûrement. Elle fit plusieurs tours de mes poignets et de mes avant-bras. Elle serra une première fois, une seconde fois, plus fort : elle venait de fermer la boucle. Mes bras étaient fermement ligotés, m'obligeant à pencher un peu les épaules en arrière, me laissant peu de liberté de mouvement, y compris au niveau des coudes.
Encore un objet dans son sac. Elle repassa devant moi. Me saisit les couilles à pleines mains, les attirant vers elle. J'accompagnais le mouvement, sans bouger les jambes, me cambrant pour lui offrir plus facilement. Elle les pétrit sans ménagement mais sans excès. Je devinais ses mains sur ma queue sous le bandeau. Elle entreprit de nouer mes couilles avec une sorte d'élastique. Elles étaient bien pleines et gonflées, elle dut s'y reprendre à plusieurs fois pour me les attacher. Je ne pouvais bien sûr pas me voir, mais l'image que je me représentais de moi-même m'affolait.
Je la sentis jouer avec mon sexe. Au bout de quelques secondes je compris qu'elle m'enfilait une capote et qu'elle me suçait. Elle le faisait doucement et de manière experte. Elle jouait surtout des ses lèvres sur toute ma queue, en insistant sur mon gland. A genou, dans sa bouche, offert, j'étais au bord du précipice. Je me retenais, sentant mon sperme monter, et en même temps je m'abandonnais à elle, à sa bouche goulue, à ma position humiliante. Je gémissais, haletais:
"- Hmmm, madame, .... je suis , ... hmmm, ... votre femelle, votre..., hmmm, petite pute...."
Elle continuait, imperturbable.
Malgré tous mes efforts, je ne pu me retenir longtemps de gicler dans sa bouche, ou plutôt dans la capote. J'arrosais à longs jets, puissants, me vidant chacun un peu plus de toutes mes forces. Je basculais la tête en arrière, me cambrais, m'abandonnais totalement à cette jouissance soudaine. Elle accompagnait mes jets avec sa bouche, jusqu'à ce que je retombe, mou, inerte, sensible et supportant mal les caresses. Elle me libéra, et se releva, lâchant:
"- Vous êtes précoce." Je ne compris pas immédiatement ce qu'elle disait, encore sous le coup de la jouissance qui s'était emparé de moi. Je ne savais pas ce qu'elle allait me faire maintenant. Je restait là, pitoyable, la queue flasque entre les jambes, tentant de reprendre mon souffle, essayant de garder une position droite malgré ma lassitude post coïtum. J'entendais qu'elle était repartie à son sac, derrière moi.
Elle pris la ceinture, la dénoua. Je gardais les bras dans le dos, attendant ses directives pour la prochaine étape. Elle dénoua le bandeau, je gardais les yeux fermé. J'entendis son téléphone portable sonner, et un bruit de porte pendant qu'elle y répondait. Je restais immobile, dans l'attente de nouvelles humiliations. J'attendais dix secondes, vingt secondes. Je réalisais qu'elle était sortie pour répondre à son téléphone. Je patientais encore un peu. Je me retournais et ouvris les yeux. Elle était partie, après avoir pris son sac. Je réalisai que ce que j'avais pris comme une réponse à son portable était des mots qui s'adressait à mois. Je compris ce qu'elle avait dit : "au revoir."
Elle m'avait laissé nu sur le lit, à genoux, les fesses enduites de lubrifiant, une capote remplie sur ma queue, un gant de latex me serrant les couilles. Elle avait considéré avoir fini sa mission. Et moi, je me retrouvais toujours aussi puceau de l'anus qu'avant. Je n'avais pas réalisé mon fantasme. Pourtant, je souriais, ayant pris un trop court instant d'intense plaisir inédit.
trioh(@)yahoo.com
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